FranceAgriMer). 
Sur le grill : 11 bouteilles, millésime 2014, issues du vignoble du Languedoc (en Vin de France, IGP Pays d’Oc, IGP Pays de Bessan, IGP Pays d’Hérault, AOP Corbières, AOP Minervois et AOP Saint-Chinian). Dans ce premier billet, nous allons nous attacher à l’aspect visuel, la première impression, au travers du packaging et de la couleur des vins. Deux critères fondamentaux qui prédisposent au jugement. Les bouteilles : la bordelaise est de sortie (9 bouteilles sur 11). Les capsules : à fond sur l’argenté (8 de couleur argenté sur 11). 
L’étiquette la plus osée : Partouze, Pierre Cros, Vin de France.
Il fallait oser, Pierre Cros l’a fait ! Un nom à la connotation bien « marquée » afin d’évoquer l’assemblage peu conventionnel des cépages que l’on retrouve dans cette cuvée. Une étiquette qui illustre très bien l’esprit de ce vin ; des mots qui dansent, des lettres qui s’imbriquent, une jolie déclinaison de roses. 
La plus bucolique : L’instant, Domaine de la Grande Courtade, IGP Pays d’Oc.
Elle nous transporte dans la cour ensoleillée d’un mas languedocien pour se retrouver autour d’un verre. 
La plus épurée : Rosé Roséphine, Domaine La Croix Gratiot, IGP Pays d’Hérault.
Une étiquette minimaliste, aux tons contemporains, dont la découpe originale en forme d’arbre laisse apparaître la couleur du vin. En terme de couleur, les rosés clairs ont toujours le vent en poupe (9 sur 11) !
Du plus clair au plus foncé : saumon (4), bois de rose (3), rose (2), groseille (2). Après cette première approche, on se retrouve très vite pour la dégustation …]]>
Derniers articles
Mon vin du 1er mai
er mai ! Car oui, il y a des jours fériés auxquels je tiens tout particulièrement et celui-ci fait partie de mes best ! 1er mai fais ce qu’il te plaît ! Telle est ma devise ! Je n’ai pas encore établi mon programme détaillé, je sais juste que je vais retrouver mes amies de toujours et c’est déjà beaucoup ! Pour célébrer cette journée, mise à part ma plante à clochettes préférée, la cuvée Midi Rouge du Domaine Borie La Vitarèle, AOP Saint-Chinian, m’est apparue comme une évidence. Midi Rouge, « comme un hommage aux luttes des anciens. Syrah d’altitude, vieux Carignan de schistes, Mourvèdre et Syrah de crès vinifiés et élevés en demi-muids ». Une robe d’un rouge captivant ; un nez intense et complexe qui revendique des notes élégantes de cacao, de torréfaction, de petits fruits rouges mûrs et d’épices de nos garrigues (genévrier) ; une bouche au caractère bien trempé, puissante, vibrante de fraîcheur, aux tanins veloutés, d’une persistance rare. Un grand vin (prix 39€) de passion et de convictions, à déguster avec ce qu’il vous plaît !]]>
La Cité du Vin à Bordeaux
Cité du Vin à Bordeaux ; un projet qui donne le vertige ! 
Installée dans le quartier en pleine mutation des bassins à flots, sur les rives de la Garonne, le squelette d’un bâtiment grandiose, tout en courbes, s’impose. Une architecture audacieuse, à la forme unique et indescriptible, qui évoque l’élément liquide : le fleuve qui ondule et le mouvement du vin dans le verre. La Cité du Vin s’est donnée pour mission de faire partager la culture millénaire du vin à un public international. Une vocation de transmission patrimoniale reconnue par l’état comme projet d’intérêt général.
Entre le musée et le parc à thèmes, elle privilégiera « l’émotion, l’expérience, les sensations et le rêve ». Retour sur la visite et le projet détaillé… 
Vous l’aurez compris, La Cité du Vin, dépassera largement les frontières du bordelais. Elle sera « un phare pour l’œnotourisme à Bordeaux » (dixit Alain Juppé), le point de départ pour la découverte du vignoble, mais pas que…
Au rez-de-chaussée, la plateforme œnotouristique regroupera l’offre de la région mais aussi celle des autres régions viticoles du monde. Au premier étage, vous trouverez l’espace dédié aux expositions temporaires (750 m2 ouverts à toutes les disciplines artistiques), l’espace polysensoriel (de la dégustation classique à de plus originales « autour d’une œuvre », …), le salon de lecture (une bibliothèque spécialisée sur les civilisations du vin) ainsi que le splendide auditorium Thomas Jefferson. 
Au second étage, des arcades majestueuses abriteront le parcours permanent. Un lieu ouvert à l’art de vivre et à l’éveil des sens au travers de sollicitations olfactives, sonores ou tactiles. « Un parcours ludique, spectaculaire et sensoriel, technologique, innovant ». 
Au milieu de thèmes classiques, « La table des terroirs », « Le Tour du monde des vignobles », deux espaces confinés accueilleront « L’art et le vin de l’amour » et « L’art et le vin de l’érotisme »… 
Les deux derniers étages, à la vue vertigineuse, seront consacrés à la restauration ainsi qu’à la dégustation. Au 8ème étage, le belvédère (à 45 mètres de hauteur) vous accueillera pour une dégustation à 360° des vins du monde ! Un projet d’envergure (avec un grand « E »), résultant d’une réflexion conjointe d’experts issus de domaines de compétence différents (œnologie, viticulture, œnotourisme, audiovisuel, technologie numérique, arts …).
J’adore quand le vin est une passerelle vers d’autres horizons ! Budget estimé : 60 millions d’euro (dont 15 millions par mécénat). L’excellence a un prix !
Ouverture prévue : fin avril 2016. Bordeaux, la capitale mondiale du vin, va se doter d’un lieu unique qui va déplacer les montagnes et faire déplacer les amoureux du vin du monde entier !]]>
Mon vin du weekend #34
Les Terroirs du Vertige, AOP Corbières, 2011. Son nom fait référence aux « Citadelles du Vertige », les châteaux cathares de Peyrepertuse et Quéribus, qui dominent le terroir des Hautes Corbières. Elle est l’œuvre de 130 vignerons qui ont regroupé leurs moyens et leurs savoir-faire au sein de la cave coopérative « Les Terroirs du Vertige » située sur la commune de Talairan dans l’Aude. Vertiges est issue d’un assemblage appliqué de Syrah (90%), Grenache Noir (5%) et Carignan Noir (5%), implantés sur des coteaux entre 250 et 400 mètres d’altitude. Une robe profonde, lumineuse, d’un rouge cerise bigarreau appétissant où se reflètent des nuances ambrées ; un nez enjôleur, gracieux, sur des notes épicées (garrigue, poivre du Sichuan), fruitées (confiture de myrtilles) ; une bouche de gourmet, des tanins ronds et soyeux, une attaque charnue rafraîchie par une jolie vivacité, une finale sur des arômes de petits fruits noirs confiturés et de cacao. Un vin rouge enchanteur (prix 7,80€), pour faire taire les mauvaises langues et prouver que l’on peut trouver des pépites en cave coopérative ! Une belle fraîcheur lui permettant d’accompagner des mets gourmands un peu grassouillets : suprême de pintade, côte de bœuf, petit salé aux lentilles, cassoulet. Une dégustation qui donne le vertige !]]>
Coup 2 foudres au Château de Bonhoste
Château de Bonhoste, vous succomberez au Coup 2 foudres … Cette belle propriété de 44 ha, située à Saint Jean de Blaignac, sur la zone géographique de L’Entre-deux-Mers, présente plus d’un atout dans sa poche ! Une situation idéale pour flâner le long des rives de la Dordogne, visiter les vignobles prestigieux de Pomerol et Saint-Emilion, ou goûter la spécialité culinaire locale, la lamproie à la bordelaise (perso, je passe mon tour !). Une visite inédite de sa cave souterraine de 1400 m2, qui, au fil du temps, a eu plusieurs vocations : initialement une carrière de pierre, puis dédiée à la culture des champignons de Paris, avant d’être consacrée à la conservation des bouteilles tiré-bouchées. Une large gamme de Bordeaux et de Bergerac (la famille possède également le Château la Moulière) : des vins blancs, rosés, rouges, moelleux (Côtes de Bergerac Moelleux), effervescents (Crémant de Bordeaux) et même du jus de raisin. Bref, de quoi contenter tous les palais ! 
Pour couronner le tout, le domaine vient de s’équiper de deux chambres d’hôtes insolites… Deux véritables foudres, conçus par le célèbre tonnelier Seguin Moreau, vous accueillent pour vivre une expérience unique au milieu des vignes. Un hébergement entre tradition et modernité ; deux foudres en bois (habituellement utilisés pour la vinification et l’élevage des vins) aménagés en studios confortables d’environ 15 m2 (kitchenette, douche à l’italienne, coin salon, accès wifi) à la décoration contemporaine. Prix : à partir de 139€ la nuit incluant le petit-déjeuner, la visite de la propriété, une dégustation et une bouteille de vin pour un apéro bucolique au cœur des vignes. En images : 
Un Coup 2 foudres pour une escapade électrique en amoureux !]]>
Mon vin du weekend #33
Domaine Begude, IGP Haute Vallée de l’Aude, 2014. Le Domaine Begude, perché en haut d’une colline, domine son vignoble de 29 ha planté à 300 m d’altitude sur l’AOP Limoux. Un terroir particulier, où les influences méditerranéennes sont tempérées par les entrées océaniques, propice aux fabuleux Chardonnay de cette appellation. Je n’ai pas encore eu l’occasion de rencontrer les propriétaires, Catherine et James Kinglake. Un couple d’Anglais, tombés amoureux de ces coteaux verdoyants en 2003. Promis, je vous en dirai un peu plus… J’aime beaucoup les blancs du Domaine Begude, des vins droits, élégants, frais et minéraux. Aujourd’hui, je jette mon dévolu sur la cuvée Exotique GV. GV comme Grüner Veltliner, le cépage emblématique autrichien qui couvre un tiers des surfaces viticoles du pays (environ 18 000 ha). Je peux vous dire qu’il s’adapte très bien à la douceur de vivre limouxine ! D’une robe jaune paille étincelante ; d’un nez intense où se mêlent élégamment des arômes floraux (aubépine), de fruits exotiques (papaye, kumquat), d’épices (curry, poivre blanc), minéraux (silex) ; d’une bouche droite, à la rondeur suave, à la fraîcheur vivifiante, à la finale fruitée et épicée. Un vin (prix 8,40€) qui donne envie de partir découvrir les spécialités culinaires du bout du monde ; créoles (poulet au lait de coco), thaïlandaises (curry vert de gambas), latino américaines (ceviche de bar), japonaises (sushi, teriyaki de poisson). Pour les casaniers, il fonctionne aussi à merveille avec mon fromage de chèvre préféré ; un Pélardon du Mas Rolland à Montesquieu ! Allez, demain je fais péter la jupette !]]>
Œnotourisme au Mas Belles Eaux
Mas Belles Eaux ? 
Le Mas Belles Eaux est situé dans le Languedoc sur la commune de Caux (à quelques kilomètres de Pézenas). Une belle propriété de 100 ha (dont 75 ha en production), jalonnée de sources naturelles, qui sont à l’origine du nom du domaine et qui imprègnent ses vins d’une fraîcheur particulière. 
Un Mas splendide du 17ème siècle, entouré d’un parc majestueux, une cave de vinification high-tech aux murs colorés, un chai à barriques tout de voûtes vêtu, tous les éléments sont réunis pour une virée réussie !
Mireille, la responsable œnotourisme, vous a concocté un programme aux petits oignons. Pour les gourmands Tous les mercredis soirs (de juin à septembre), « Les Nocturnes », pour un rendez-vous entre amis, accompagné des vins du domaine et d’une sélection de tapas (assiette autour de 15€).
Tous les midis (de mai à septembre), « Les pique-niques », une bouteille de rosé et un panier garni (15€/personne) pour une escale champêtre.
Un samedi par mois (d’avril à septembre), des cours de cuisine à thèmes avec la chef Anne de Ravel (prix 65€/personne incluant le cours de 3 ou 4 plats, le repas sur place, les vins). Attention première date le 25 avril ! Sur les planches Vendredi 29 mai, la pièce de théâtre « Le vin bourru », adaptée d’un roman de Jean-Pierre Carrière, par Gilles Buonomo, dans le cadre du « Festival Molière dans tous ses éclats » (prix 10€, un verre de vin offert). En musique Mardi 7 juillet, « Printi dégustation », le concert de Faustine, dans le cadre du « Printival Boby Lapointe » (prix 10€, un verre de vin offert).
Mardi 18 août, ciné-concert, film « Safety Last » de Harold Lloyd mis en musique live (prix 10€, un verre de vin offert). Les classiques Toute l’année, la visite de la propriété suivie d’une dégustation. J’aime beaucoup les vins du Mas Belles Eaux pour leur élégance et leur fraîcheur ; deux gammes qui se complètent, l’une en AOP Pézenas et l’autre en vins de cépages IGP Pays d’Oc. Je vous recommande tout particulièrement le Rosé (Syrah), Les Coteaux blanc (Grenache Blanc, Vermentino), le Mourvèdre. Pour retrouver le programme complet des animations, je vous invite à contacter Mireille (contact@mas-belleseaux.com). C’est l’été (presque), youpi !!!]]>
Mon vin du weekend #32
Domaine Mas du Bouquet est une histoire de famille. La troisième génération Manganelli exploite 30 ha de vignes qui s’enracinent depuis une cinquantaine d’années dans l’extraordinaire terroir de galets roulés de l’AOP Vacqueyras. Ici, le Grenache Noir, la Syrah et le Mourvèdre s’entendent à merveille. Une cuvée tout en dentelles, digne du fabuleux panorama des Dentelles de Montmirail. Une robe lumineuse, d’un rouge carmin, nuancée de reflets acajou ; un nez intense, chaleureux, qui s’exprime sur des notes d’eucalyptus, de fleur de coquelicot coupée, de cassis ; une bouche d’une belle homogénéité, à l’équilibre séducteur, une attaque sur le gras, des tanins soyeux, une finale fraîche comme un bouquet un brin atypique de cacao, de pruneau et de bâton de réglisse. Un grand vin (prix 15,60€) qu’il est bien difficile de garder dans son verre. Qui vous invite à l’apéro avec un jambon Serrano (servir entre 15 et 17°C) ou à partager un repas (rôti de bœuf aux petits oignons confits, pintade fermière à l’estragon, omelette aux truffes, truite aux amandes). Une cuvée 2012 qui arrive à point pour passer un weekend avec entrain !]]>
2014, un millésime qui fait du bien !
La semaine des primeurs à Bordeaux vient de se terminer et je peux vous dire que le bordelais a retrouvé le sourire ! Après une période fraîche et humide plutôt inquiétante, l’été indien a fait reculer les maladies cryptogamiques et a permis une maturité optimale. Les vins encore en cours d’élevage présentent un potentiel qui laisse présager de grandes bouteilles. Toutes appellations confondues, on retrouve encore les inconditionnels de l’extraction et du boisage à outrance entraînant des vins à l’équilibre asséchant. Ces pratiques ont cependant tendance à diminuer afin de favoriser « l’expression du raisin ». Les blancs sont élégants, vifs, concentrés. Les rouges ont de la matière ; point de végétal, des arômes complexes, une belle concentration, des tanins de velours, de la longueur en bouche. Vous l’aurez compris, beaucoup de vins ont conquis mon palais cette année. Afin d’éviter de vous perdre dans une énumération à rallonge, je préfère vous faire partager quelques temps forts, non exhaustifs, de dégustation. Les deux grands vins de ce millésime 2014 En rouge, Vieux Château Certan, AOP Pomerol ; une complexité et une concentration affolantes, tout en douceur.
En blanc, Aile d’Argent, Château Mouton Rothschild, AOP Bordeaux ; le joyau de Philippine est à nouveau au rendez-vous. 
La plus belle gamme Les Vignobles Comtes von Neipperg : Château Canon La Gaffelière, La Mondotte, Clos de l’Oratoire, AOP Saint-Emilion, Clos Marsalette, AOP Pessac-Léognan et Château d’Aiguilhe, AOP Côtes de Castillon ; une homogénéité qualitative remarquable, des vins qui se distinguent selon les terroirs. 
Les « ptits » nouveaux Château du Paradis, AOP Saint-Emilion ; l’œuvre réussie de deux jeunes frères qui ont repris la propriété familiale. 
Les seconds vins qui se démarquent En rouge, Le Petit Cheval, Château Cheval Blanc, AOP Saint-Emilion ; un nez floral, une bouche à la belle fraîcheur fruitée.
En blanc, Clémentin, Château Pape Clément, AOP Pessac-Léognan ; un vin au peps raffiné. 
La dégustation la plus sympa Celle organisée par l’équipe Thunevin, dans les chais de charme situés au cœur du ravissant Saint-Emilion. Au programme, les vins de propriétés (vignobles bordelais et du Roussillon), ceux distribués en exclusivité par les Ets. Thunevin et les vins des amis ! Une très belle sélection dépassant les frontières de Bordeaux (Bandol, Châteauneuf-du-Pape, Bourgogne) et de France (Tokaj, Toscane, Sicile, Rioja, Ribera del Duero). 
Les best hors de nos frontières Bodega Aalto, AOP Ribera del Duero, Espagne ; le Tempranillo dans toute sa splendeur. Pingus, AOP Ribera del Duero, Espagne ; l’un des vins les plus recherchés au monde de par sa rareté et sa qualité (je ne m’en suis toujours pas remise !). 
Magrez-Aruga, Koshu, AOP Koshu Isehara, Japon ; un cépage que l’on retrouve uniquement sur le sol nippon ; un vin blanc aux reflets rosés, au nez fruité, à la bouche vive qui se termine par une pointe d’amertume et qui donne envie de dévorer un plateau de sushis ! En résumé, une semaine de belles rencontres humaines et gustatives ! La balle est maintenant dans le camp des Châteaux qui, je l’espère, ne seront pas trop gourmands (une hausse des prix qui se situerait autour de 20%) !]]>
Mon vin du weekend #31
Serre Romani, IGP Côtes Catalanes, 2013. Serre Romani, la montagne aux romarins, un nom qui nous transporte sur les collines enchanteresses de la Vallée de l’Agly où Cylia et Laurent Pratx, cultivent avec amour ce cépage noble du sud de la France. Une robe pourpre aux reflets prune ; un nez friand qui s’exprime sur des notes fruitées (figue sèche, cassis, griotte), épicées (senteurs de garrigue, cacao) ; une bouche ample, à l’équilibre vif et gourmand, à la finale agréable qui excite les papilles. A déguster avec un assortiment de charcuteries, de l’agneau parfumé au romarin, des brochettes de filet mignon. Et, la cerise sur le gâteau, il s’accorde parfaitement avec un œuf de Pâques au chocolat noir ! Un vin (prix 7€) pour un weekend de villégiature, un joli panier en osier, une nappe à carreaux, un petit coin de verdure et le tour est joué !]]>